Serge Gainsbourg-Aux Armes Et Ca
To me, this is definitely one of the most iconic t-shirts from musical genius Serge Gainsbourg. From his 1981 album aux armes, et caetera.Size M, fits true to size.Very good vintage condition. Perfectly crackled screenprint. No holes or stains.Made in France in the 1980s. 100% cotton. Double stitched sleeves and hems. The French textile industry was one of the earliest to introduce double stitching on t-shirts, as far back as the early 1970s.Pit to pit: 21 inches / 53 cm Collar to hem: 25 inches / 64 cm
Serge Gainsbourg-Aux Armes Et Ca
Birkin left Gainsbourg in 1980, but the two remained close, with Gainsbourg becoming the godfather of Birkin and Jacques Doillon's daughter Lou and writing her next three albums.[65] His first live album Enregistrement public au Théâtre Le Palace (1980), exhibited his reggae-influenced style at the time. Also in 1980, Gainsbourg dueted with actress Catherine Deneuve on the hit song "Dieu fumeur de havanes" from the film Je vous aime and published a novella entitled Evguénie Sokolov, the tale of an avant-garde painter who exploits his flatulence by creating a style known as "gasograms".[66] His final reggae recording, Mauvaises nouvelles des étoiles (1981), was recorded at Compass Point Studios in The Bahamas with the same personnel as its predecessor.[67] Bob Marley, husband to The I Threes singer Rita Marley, was reportedly furious when he discovered that Gainsbourg had made his wife Rita sing erotic lyrics.[63] New posthumous dub mixes of Aux armes et cætera and Mauvaises Nouvelles des Étoiles were released in 2003.[68] During this period, Gainsbourg also had success writing material for other artists, mostly notably "Manureva" for Alain Chamfort, a tribute to French sailor Alain Colas and the titular trimaran he disappeared at sea with.[69]
Très gros album ! Je découvre cet album après avoir cru connaître l' "essentiel" de Gainsbourg...Et résumer cet album à "Aux armes, etc" c'est se tromper. Ecce Homo = le voici l'homme que l'on va mettre au pilori. C'est toute sa dernière période résumée, sachant qu'il a décidé lui-même d'aller au bout des choses, d'épurer ses textes, de prendre des thèmes tabous / dérangeants. Un grand Ecce Homo, homme / artiste tel que Pasolini fit son Evangile. Overseas Telegram, une chanson d'ilien. Coupé du monde, coupé de la vie ? De l'amour ? Une chanson sur la déchirure. Strike : l'Homme revenu / perdu de tous ses amours, qui annonce No Comment. Les rimes et décalages font Strike. Que dire de Lola Rastaquouère ? Plongée dans l'Afrique, terre Rasta par essence. Et Negusa Nagast, judaïté et africanité, cocktail à croire sur paroles. Gainsboug manie ici avec un brio hors du commun la parole orale. Le texte, pris seul, ne semble pas transcendant. C'est quand l'auteur l'incarne que toute la fumée des paroles, leur poids, leur sens prend volume et emplit la salle où tu fais ton écoute... Et les noix de cajous...
OK autant pour moi. Il n'empêche : 1. Javanaise Remake2. Aux armes et cætera => j'en parle même pas, chanson très commentée3. Les locataires4. Des laids des laids => +++5. Brigade des stups => +++6. Vieille Canaille => +++7. Lola Rastaquouère => +++8. Relax Baby Be Cool => ++9. Daisy Temple => +++10. Eau et gaz à tous les étages11. Pas long feu12. Marilou Reggae Dub Ca commence et ça se termine par des reprises, bon...Mais tout ce qui est noté entre deux est d'une très grande qualité
banjwen f6d93bb6f1 -serge-gainsbourg-aux-armes-et-ca-file-a... > -serge-gainsbourg-aux-armes-et-ca-file-a... href=" -final-answers-torrent-x64-full-version -gym-workout-pro-telefonbuchios14ok-ipa-... > -gym-workout-pro-telefonbuchios14ok-ipa-... href="
Déjà en 1979, une autre "œuvre de l'esprit" avait fait tourner bien des têtes et fait couler beaucoup d'encre : La Marseillaise version reggae de Serge Gainsbourg, issue de l'album "Aux armes et caetera" enregistré à Kingston en 1979, reprise originale de l'hymne national français écrit en 1792 par Rouget de Lisle (Gainsbourg racheta d'ailleurs en 1981 le manuscrit original signé de l'auteur), qui deviendra à l'époque disque de platine en quelques mois, avec plus d'un million d'exemplaires vendus.
Mais comment en est-il venu à s'inspirer de l'hymne national français pour faire un chanson aux rythmes jamaïquains ? Serge Gainsbourg expliquera plus tard que ne connaissant pas l'ensemble des couplets de La Marseillaise, il ouvrit son Grand Larousse encyclopédique et découvrit que "Au deuxième refrain, il met : "'Aux armes, et cætera'". "Ça le faisait chier de le réécrire. J'ai senti qu'il y avait un titre", expliquera Philippe Lerichomme.